Extrait du blog de l’association Miroir des âmes, à propos de la reddition des Allemands dans la Poche de Chambois en août 1944 : Chères amies, chers amis de la Paix Nous sommes revenus hier de la mission Miroir des Âmes visant à mettre en valeur le rôle du docteur Baumann auprès de l’abbé Launay […]
La reddition de Tournai-sur-Dives : Poche de Chambois
Faire la paix en temps de guerre demande la participation d’au moins deux personnes ou deux partis… Le 21 août 1944, Tournai-sur-Dives concentrait les fuyards. Le village était un point de passage obligé pour toutes les troupes. Les plus durs n’avaient pas attendu l’écrasement pour s’échapper. Ils roulaient vers la Seine via Le Sap, Vimoutiers […]
La libération
article 12 : Guerquesalles n’est qu’à une portée de canon de Chambois où se profile la débâcle de l’armée allemande. C’est la fin de la Bataille de Normandie. Les troupes allemandes, encerclées par les Alliés, dans ce qu’on appelle communément mais injustement « la poche de Falaise », n’ont qu’une seule issue pour gagner le nord : […]
La Vie sous l’occupation
article 11 A ce stade du récit, il est intéressant de revenir sur la vie à Vimer durant la durée de l’occupation. Mme Gilberte Lecerf avait 22 ans au début de la guerre. Elle travaillait déjà à la cuisine et a été un témoin à une place particulière : on ne se méfie jamais des […]
Quand la Vie reprend le dessus
article 10 L’hôpital n’a pas été qu’un lieu de souffrance et de mort. La vie est restée la plus forte, d’abord à travers l’action des hommes mais aussi par la naissance de plusieurs bébés. Ainsi, pour Mme Aumont, dont les parents étaient buralistes dans la rue du Moulin, la vie commence de façon terrible : […]
Le ravitaillement, l’intendance
article 9 Nourrir 120 personnes n’est pas une mince affaire, surtout dans des conditions de guerre. Et pourtant, cela n’a jamais constitué un problème insurmontable. « Tout le monde donnait » précise Mme Lecerf. Effectivement, les cultivateurs apportent qui, des légumes, qui, des produits laitiers. En fait, aucun commerce n’est possible de par l’impossibilité de se déplacer. […]